440 000 repas sont servis chaque année, dans les lieux de restauration collective du territoire de la Dombes. Un chiffre important qui ont poussé les professionnels du secteur à réfléchir à des questions communes pour améliorer leurs méthodes de travail.

Un diagnostic alimentaire a été conduit ces derniers mois par la Communauté de Communes de la Dombes, auprès des gestionnaires de restauration collective : 27 restaurants scolaires, 8 accueils de loisirs, 8 Établissements d’Accueil du Jeune Enfant. Ce qui a permis de mettre en évidence que 60% des repas servis sur le territoire sont cuisinés sur place et les 40% restants sont livrés par une cuisine centrale. Les gestionnaires sont en majorité (70%) des associations locales.

Plusieurs pistes de réflexion ont été abordées par les gestionnaires :

• Alimentation : de qualité, locale, approvisionnement…
• Lien avec les familles : modalités d’inscription, tarifs…
• Ressources humaines : formation, remplacement de personnel absent…
• Temps de l’enfant : rythme, projet pédagogique…

Cette première rencontre a été l’occasion de faire le lien entre les gestionnaires, d’entamer un dialogue collectif en prenant en compte les intérêts de chacun et d’identifier des thématiques de réflexion et de travail que la Communauté de Communes de la Dombes peut apporter au bénéfice du territoire.

Cette démarche s’inscrit dans le cadre des mesures issues des Etats Généraux de l’Alimentation (loi EGALIM du 30/10/2018) qui rappellent les évolutions à mettre en place en matière d’approvisionnement, d’information, de diversification et de lutte contre le gaspillage alimentaire.
– D’ici le 1er janvier 2022, fournir des menus à base de 50% de produits de qualité, dont au moins 20% de produits issus de l’agriculture biologique.
– Informer les usagers sur la qualité nutritionnelle et sur la part des produits de qualité.
– Mettre en place un plan pluriannuel de diversification des sources de protéines
– Supprimer progressivement l’usage des contenants et ustensiles en plastique à usage unique.
– Engager une démarche de lutte contre le gaspillage alimentaire.

Quoi de mieux pour faire découvrir les étangs de la Dombes que des balades accompagnées, commentées et thématisées ? Quoi de mieux pour faire découvrir la cité médiévale de Châtillon-sur-Chalaronne que des visites guidées thématisées ?

Cet été, Dombes tourisme vous propose de nombreuses balades accompagnées au bord des étangs. Des balades ludiques, pour petits et grands, avec chacune un thème, alternant nature et patrimoine :

• Mille et un mystères de la forêt dombiste
• Mille et une pousses des étangs de la Dombes
• Mille et une histoires de la Dombes
• Mille et une saveurs de la Dombes
• Mille et une couleurs de la Dombes
• Mille et une plumes au lever du soleil
• Mille et une plumes au coucher du soleil
• Diverses balades dans Châtillon (en calèche, gourmande, médiévale…)

Pour consulter le programme complet de ces animations ou réservez vos billets, consultez le site internet de Dombes Tourisme : https://bit.ly/Animations_Programme

Covid-19 oblige, il a fallu s’adapter. Le Festival Cuivres en Dombes n’a pas échappé à la règle. La déception de l’annulation du festival passée, les organisateurs se sont remis au travail et ont réservé une jolie surprise aux habitants de la Dombes : une édition spéciale !

Au programme : deux concerts gratuits le week-end du 25-26 juillet. De quoi se retrouver à nouveau ensemble (en respectant les mesures barrières bien entendu), au son des cuivres pour profiter de l’été sur notre beau territoire.

Les deux rendez-vous à ne pas manquer :

• Samedi 25 juillet à 18h30 : SKOKIAAN BRASS BAND / Ferme des Carronières au Plantay
• Dimanche 26 juillet à 15h30 : Les Jimmy / parc de l’EHPAD public La Montagne de Châtillon-sur-Chalaronne

Entrée libre, buvette et restauration sur place.

Sans oublier, le concert de MNOZIL BRASS, le jeudi 12 novembre à 20h30 à l’Espace Bel Air de Châtillon-sur-Chalaronne (info et réservation : www.cuivresendombes.org)

Téléchargez la plaquette ci-dessous ou rendez-vous sur le https://bit.ly/3dyNocM

Le dimanche 26 avril 2020 marque la Journée nationale du souvenir des victimes et des héros de la déportation. En raison des circonstances actuelles, toutes les cérémonies commémoratives sont annulées.

Comme chaque année, les associations de déportés rédigent un message commun qui est lu lors des cérémonies.

Nous vous proposons de le lire ici :

« Il y a soixante quinze ans, au printemps 1945, plus de 700 000 hommes, femmes et enfants étaient regroupés dans ce qui restait de l’univers concentrationnaire et génocidaire nazi à l’agonie.

La moitié d’entre eux devait encore périr, notamment dans les marches de la mort, avant que les armées alliées, dans leur progression, n’ouvrent enfin les portes des camps sur une insoutenable vision d’horreur.

Les survivants de ce drame du genre humain, par leur esprit de résistance, leur volonté et leur profond attachement à préserver leur dignité, ont surmonté des conditions inhumaines malgré la présence et la menace permanentes de la mort.

Le 1er octobre 1946 s’achevait le procès de Nuremberg qui fondait la notion de « crime contre l’humanité » et posait les bases du droit pénal international.

De tout cela, rien ne doit être oublié…

Et pourtant, si les déportés ont su montrer dans les pires circonstances que la résistance face au crime demeurait toujours possible, leur persévérance à témoigner partout et auprès de tous ne suffit pas à faire disparaître la haine, le racisme, la xénophobie, l’antisémitisme et le rejet des différences.

Combattre sans relâche les idéologies qui affaiblissent notre modèle républicain et prônent le retour à l’obscurantisme et au fanatisme,
Promouvoir la tolérance,
Investir dans l’éducation morale et civique des jeunes générations.

C’est le message des déportés qui veulent faire de la journée nationale du Souvenir des Victimes et des Héros de la Déportation, une journée d’hommage, de recueillement, et plus encore, d’engagement personnel.

La période dramatique de la déportation rappelle en effet cruellement que les êtres humains sont responsables de l’avenir qu’ils préparent à leurs enfants, et qu’ils partagent une même communauté de destin. »

Ce message a été rédigé conjointement par :
La Fédération Nationale des Déportés, internés, Résistants et Patriotes (FNDIRP),
La Fondation pour la Mémoire de la Déportation (FMD) et les Associations de mémoire des camps nazis,
L’Union Nationale des Associations de Déportés, Internés, de la Résistance et Familles (UNADIF-FNDIR).