Le PAiT Dombes-Saône adhère à l’association Un plus Bio. Pendant deux jours, Audrey Chevalier, vice-présidente en charge du PAiT, et Julien Béjà, en charge du PAiT au sein de la CCD, étaient à Paris pour les journées Un plus Bio. Ils y ont retrouvé Marie Cogan, chargée du PAT à la Communauté de Communes de la Veyle.
L’occasion de réfléchir, dénicher des idées, témoigner de son expérience dans le cadre de la Journée nationale des cantines rebelles.
Les Relais Petite Enfance de la Dombes organisent une journée de mise en lien entre les familles et les professionnels de la petite enfance en milieu rural. Pour l’occasion, une Maison Géante sera installée à la salle des fêtes de Romans le samedi 20 novembre 2021, de 9 heures à 16 heures, à l’occasion de la Journée internationale des Droits de l’Enfant et de la journée nationale des assistants maternels.
Les accidents domestiques constituent la première cause de mortalité des enfants de moins de 15 ans. Pourtant des gestes simples permettraient de faire reculer ce chiffre. Face à ce constat, les cinq RPE (Relais Petite Enfance, anciennement Relais d’Assistants Maternels) de la Dombes et la Communauté de Communes de la Dombes proposent une journée autour de la mise en lien des familles et des professionnels de la petite enfance en milieu rural, le samedi 20 novembre à la salle des fêtes de Romans. La prévention des accidents domestiques sera au centre des discussions.
Cette journée dédiée à la parentalité réunira les RPE de la Dombes et de nombreux intervenants : pompiers, psychomotricien, PMI (protection maternelle et infantile), la ludothèque Brin d’Malice. Des ateliers seront animés par des assistantes maternelles. Une Maison Géante sera également installée de 9h à 16h. Cette maison a pour vocation de mettre l’adulte dans la peau d’un enfant pour voir les dangers domestiques d’une autre échelle. Deux spectacles sont programmés à 10h30 et 15h00 en lien avec cette Maison gérante.
Le choix de la date n’est pas anodin. Le 20 novembre marque la Journée internationale des droits de l’enfants et est à proximité du 19 novembre, journée nationale des assistants maternels.
Cette journée s’adresse à toutes les familles du territoire, ainsi qu’aux professionnels de la petite enfance. Elle est financée à 80% par la CAF. Le reste étant à la charge de la Communauté de Communes de la Dombes. L’accès est libre et gratuit, mais soumis à pass sanitaire.
Le centre social Mosaïque de Chalamont propose du transport à la demande pour permettre aux intéressés de se rendre à Romans.
A partir du 1er décembre, le geste du tri se simplifie pour les habitants de la Communauté de Communes de la Dombes. L’ensemble des emballages plastique et des petits emballages en métal devront être placés dans la poubelle jaune. Objectifs : réduire le volume des poubelles et augmenter les performances de tri.
La Communauté de Communes de la Dombes passe aux extensions des consignes de tri. En d’autres termes, à compter du 1er décembre 2021, les usagers pourront trier tous les emballages ménagers en plastique, non seulement les bouteilles et flacons en plastique, mais aussi les films, sacs, pots et barquettes, ainsi que tous les petits emballages en métal (capsules de thé et café, opercules et muselets de bouteilles, …).
Un long cheminement a été nécessaire pour y parvenir. Il a d’abord fallu changer de centre de tri. Nous dépendons désormais depuis le 1er janvier 2021 du centre de tri Trivalo à Chassieu. Une usine de tri des déchets issus de la collecte sélective dernière génération qui peut trier l’ensemble des plastiques ménagers. Ce centre tri moderne est capable également de capter les petits métaux (capsules de café, opercule en aluminium, …). Un lourd dossier de candidature a ensuite été déposé en avril 2021 auprès de l’Eco-organisme CITEO afin d’obtenir son autorisation. La sélection des lauréats par CITEO a été faite durant l’été et la CC de la Dombes a officiellement obtenu la possibilité de passer au tri de tous les plastiques ménagers il y a seulement quelques semaines.
Tous les emballages ménagers (en plastique, en métal, en carton et les briques alimentaires), sans exception, devront désormais être placés dans les bacs ou colonnes de tri jaunes, pour un geste plus simple et une augmentation des performances de tri. Toutefois, seuls les emballages se trient. Il ne faut jamais déposer d’objet dans le conteneur, quel que soit son matériau (exemples : jouets, vaisselle, stylos…). Les objets en plastique vont à la poubelle noire ou à la déchèterie.
Cette extension des consignes de tri va permettre de réduire de façon importante le volume de nos poubelles de déchets non recyclables (bacs noirs), d’amplifier le recyclage et ainsi préserver les ressources naturelles et limiter l’émission de gaz à effet de serre.
« Un nouveau travail de taille s’engage, explique Christophe Monier, vice-président à la CC de la Dombes en charge des Déchets. Harmoniser le mode de collecte des matières recyclables sur le territoire. En effet, actuellement, une partie des habitants doit se rendre dans des points d’apport volontaire, alors que pour d’autres la collecte a lieu en porte-à-porte dans des bacs ou sacs jaunes. Une étude est en cours pour savoir quel mode sera retenu pour l’ensemble des communes ».
« Quelle que soit la décision retenue, poursuit Isabelle Dubois, Présidente de la CCD, elle sera prise avec l’objectif d’améliorer notre comportement face au recyclage, afin de faire de la Communauté de Communes de la Dombes un territoire exemplaire en matière de réduction des déchets. Inscrire notre intercommunalité dans la transition écologique est l’un des piliers de notre Projet de Territoire ».
Chaque mois, rencontrez les élus membres du Bureau exécutif de la Communauté de Communes de la Dombes.
Pour ce deuxième épisode, rendez-vous avec Audrey Chevalier, vice-présidente en charge du Projet Alimentaire inter-Territorial, du lien avec les commerces et du tri des déchets.
Le ragondin est un fléau pour nos étangs. Afin de mieux comprendre les enjeux de leur régulation, la Communauté de Communes de la Dombes organise une réunion d’informations.
Rendez-vous le jeudi 4 novembre à 19h30 à la salle des fêtes de Neuville-les-Dames.
Le ragondin est une espèce exotique envahissante. Il consomme une grande quantité de végétations naturelles des étangs (herbiers aquatiques, roselières…) et détériore les berges. Son action entraîne une perte de biodiversité et des coûts importants de réparation des berges. Il impacte parfois aussi les cultures limitrophes.
En début d’année, les bibliothèques de la Dombes avaient lancé un appel à tous et toutes les tricoteurs / tricoteuses des alentours. L’objectif était de tricoter ou crocheter des carrés de tissus afin d’habiller les murs et le mobilier des bibliothèques. Pari plus que réussi puisque ce sont des milliers de carrés qui ont été envoyés dans les bibliothèques de la Dombes.
Il a fallu encore de nombreuses petites mains expertes pour les assembler, au cours de l’été. Fin septembre, les bibliothèques se sont parées de jolies couleurs à l’occasion du Festival Bien-être en Dombes. Pas de doute, les bibliothèques se voyaient de loin ! Il ne restait plus qu’à passer leurs portes pour découvrir ce qu’elles proposent au quotidien…
Pour voir la rétrospective en entier, c’est en cliquant sur le fichier ci-dessous :
Certains usagers ont fait part de leur mécontentement en raison de quelques problèmes de collecte. Voici quelques éléments de réponse.
Tout d’abord, il faut savoir que les déchets restant au fond du bac ne sont pas pris en compte pour la facture. En effet, le mode de fonctionnement est basé sur la réalisation de deux séries de mesures :
Le poids net collecté est la différence entre le poids brut et la tare, c’est-à-dire la différence entre le poids avant et après la collecte.
Cela n’enlève rien au problème. Nous ne rencontrons pas ce genre de désagrément sur le secteur de Châtillon-sur-Chalaronne, secteur géré en régie, donc avec nos propres agents.
Les sacs restant au fond du bac relèveraient de plusieurs facteurs :
Cependant, nous allons rencontrer notre prestataire de collecte pour essayer de réduire au maximum ce problème. Un dirigeant de l’entreprise doit se rendre sur place dès aujourd’hui, afin de discuter avec ses équipes. Il rencontrera également nos agents de collecte et suivra une partie de la collecte pour voir comment les agents de la Communauté de Communes de la Dombes procèdent concrètement. Notre prestataire a donc pris la mesure du problème et tente de le régler au plus vite.
Les équipements de pesée sont contrôlés et certifiés par un organisme désigné par les services de l’Etat. Les systèmes sont certifiés avant la première mise en service puis contrôlés annuellement (périodicité réglementaire en vigueur) et après chaque intervention de maintenance ayant un impact sur la pesée.
Les précisions des pesées sont de +/- 1 kg pour les bacs 2 roues et +/- 2 kg pour les bacs 4 roues.
Cela peut donc expliquer une légère différence de poids, mais n’explique pas les écarts importants que certains usagers ont fait remonter. Les différences importantes ont certainement d’autres explications : échanges de bacs, sacs mis par des tiers… Nous invitons les personnes concernées à contacter le service Déchets pour regarder ensemble d’où vient ce problème.
Il a été dit que la mise en place de la redevance incitative n’avait été décidée que pour permettre à la Communauté de Communes de gagner de l’argent et de faire gonfler son budget. Cela est tout simplement impossible.
Le budget Déchets est un budget annexe au budget général et il doit être équilibré. En d’autres termes, les déchets payent les déchets. Nous ne pouvons ni faire d’excédents, ni être en déficit. Les autres recettes de la Communauté de Communes ne peuvent règlementairement pas venir équilibrer le budget Déchets et inversement les éventuels excédents du budget Déchets ne peuvent pas être alloués aux dépenses du budget général. Ce sont des règles de comptabilité publique.
Oui les déchets coûtent cher. Ceci représente un budget d’environ 5 millions d’euros par an. Car la redevance incitative paye :
La CC de la Dombes recycle et revend les matériaux valorisables mais les recettes perçues ne compensent pas la totalité des dépenses et représentent environ 17% du budget.
A titre d’exemple, en 2020, le coût de traitement des ordures ménagères était de 125,60 €/tonne auquel s’ajoute la cotisation fixe due au syndicat de traitement des ordures ménagères ORGANOM qui s’élevait à 12,98 € TTC par habitant et par an qui rapportée à la tonne représente un coût de 86 €/tonne. Le coût de traitement des ordures ménagères s’élève donc aujourd’hui à 0,21€/kg auquel s’ajoute 0,02€/kg de dépenses diverses (subvention des composteurs, communication pour la réduction des déchets, …). Pour des raisons juridiques, nous ne pouvons voter un tarif différent du coût réel. C’est donc la raison pour laquelle le prix au kilo est de 23 centimes. Notons que les taxes sur les déchets et la cotisation au syndicat Organom ont encore augmenté en 2021.
La question des 10 levées obligatoires revient également régulièrement. Ces 10 levées minimum servent à financer les charges fixes liées à la collecte des ordures ménagères. Même si le bac est déposé moins de 10 fois à la collecte, le camion passe tout de même devant le domicile et il faut payer les salaires des agents de collecte, l’amortissement et l’assurance des camions, le carburant, la maintenance et l’entretien… Les dépenses fixes liées aux ordures ménagères résiduelles s’élèvent actuellement à 670 000 € TTC/an (salaires agents de collecte, amortissement camions, maintenance, carburant, …). Les recettes de la Redevance Incitative liées aux levées minimum s’élèvent à : 10 levées x 2,80€ x 16000 redevables = 448 000 € TTC/an.
Le budget Déchets est transparent. Le service Déchets se tient à votre disposition si vous souhaitez le consulter.
